Céest du hip hop secoué house électro
Des séquences déconstruites
Aux conséquences fortuites
Des boucles sans fin
Comme des cheveux déange
Aux extraits précis de quintessence
Descente motor bass dense
Pour rouler jusqu'a l'absence
Faire vibrer groover les corps
Sur le dance floor en fleur
Eparpillé de filles et de lumières par millier
Boissons gazeuses raides bulles glace pillée
Je détourne les maux c'est facile
Gracile comme lucille
Je coupe comme la faucille
Au travers des apparences
Des appâts rances
Je fauche chauffe recolle tof les morceaux
Je dégaze comme un chalut
Et laisse filer fier mon sillage irisé
Je joue les gros gras, les gros bras, les gros tas
Mais ce qui importe c'est la porte ouverte
ce qui emporte qui remporte mon adhésion
Mixe dj ces disques scratchés usés
scotché à tes platines
Fixe les lueurs de l'aube
Le rythme est binaire
Ta mine débonnaire
La crême et le goût mon amour
Crema e gusto mi amor
Le meilleur la crême de la crême
Je percute comme un ange déchu
De wong kar waé comme nous osons
Jospéhine l'émotion saturée des couleurs vives
Les halos floutés servent de décors
A des sitcoms tellement bien fait
Dans leur banalité quotidienne
Que nos vies projetées
S'y retrouvent exaltées
De la réalité à l'affliction
Il n'y a quand même pas
Qu'un traître pas mon amour
Maigre maître qu'on envoie paître
L'étre et le paraître se parasitent
Se brouillent en une image floue
Où l'apparat des contours
Détoure le leurre déivoire
Histoire d'y voir plus clair
Etre ou ne paraître là est la question
Naître ou n'apparaître peut-étre
Encore une question sans fin
Une boucle, un loop transi de DJ Loopélavion !